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A piece of book

29 mars 2015

Citations et poèmes

fleur rouge

 

La fleur rouge du désir s'éclos doucement,

Mais lorsqu'elle s'ouvre,

C'est toute une explosion de sensations qui s'en échappe.

 

Le parfum d'une femme

c'est l'essence même de sa personnalité et

l'empreinte de sa féminité.

IMG_4501

 

 

Le champagne :

Elles ne sont pas une,

mais des milliers.

Dansant de concert

Tel un ballet orchestré.

Elles sont toutes une,

Dans une flûte dorée.

Douce chimère

Qui vient ensorceler

Toutes vos papilles émerveillées.

 

La vie est comme le champagne

si  tu vis dans l'euphorie

c'est bien mais sois prudent

si tu n'as pas de règles.  

 

ciel-bleu

 

 

Le ciel du matin est toujours magique,

car il représente l'espoir  que tu as dans le coeur

quand tu ouvres les yeux après une longue nuit.

 

Le ciel bleu et froid m'appelle,

Il est sans nul autre pareil,

reflet de mon âme parfois sage,

parfois froide en son image.

 

 La liberté est comme un papillon,

si tu la mets en cage elle mourra.

 

Si tu suis toujours ton rêve,

tu trouveras ton chemin.

 

Vivez sans argent et vous aurez toujours l'amour,

Vivez sans amour et vous serez pauvres.

 

Orchidée Von Tassel

 

 

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25 février 2015

My Quotes, poetic things (English)

ciel moi

 

The sky is like spirit, 

It's empty of material things 

but full of dreams

 ͠ 

 

 

 

 

Freedom is like a butterfly

If you put it in a cage,

It will die

 ͠ 

Life can be sad,

Life can be beautifull,

Sometimes bad,

Sometimes cool,

If you're mad,

If you're full,

You'll never give up the fight

 ͠ 

Be different, seze the moment !

 ͠ 

Rain wash away all sorrows

 ͠ 

Blossom is like love,

It grows everyday

Slowly but surely

 ͠ 

 If you always follow your dream

You'll find your path

 

chemin moi

 

 ͠ 

A dress for a girl is like a car for a boy,

You always want to have the most beautifull of all

  ͠ 

A morning sky is always magic

Because it represents the hope

That you have in your heart

When you open your eyes

After a long night

 ͠  

Life is like a book,

Write your story everyday

 ͠  

Be like the nature 

Always beautifull and surprising

nature moi

 

Orchidée Von Tassel

 (Texts and photos by me)

 

10 novembre 2014

Halloween's story (English)

corpse_bride

 

 

Jane and Marty were a nice couple. There were recently married. For the birthday of Jane, Marty find her a beautifull old house. It was the 5th october.

The young woman was so happy, she had everything she always dreamed of.

During the beginnig of october, they took care of their new house. Jane decorated the rooms with love and cleaned all the house. Marty fixed many old things. Once again in its long story, the house was beautifull.

The 10th october, during the night, for the first time, the couple heard a weird noise. Jane was scared, she asked :

-Marty, please, go take a look, I would like to know what it is.

The man took a lamp and down the stairs. With this small light he could not see many things. So he waited. And finelly he heard something which is coming from the basement. Marty took a deep breath and penetrate into the shadows of the cave. And suddently, he heard a noise. He saw a movement in the dark so he put the light on the thing and he discoverd... a rat. The man thought that he was stupid to be scarred for a such little animal. And the life back to normality. During many days, nothing. But, one night, the 20th october, Jane heard something again. This time, she cames down herself. She put her ear on the door of the basement and then she heard a voice. Very far away for the beggining but after she could understood words.

-My poor Elisabeth, you made a big mistake, but it’s finish now, you will be a little nice bride forever...

Jane perfectly reconize a man’s voice, it was so scary that she run to find her husband. Marty go take a look, but he saw nothing. He calmed his wife and they went to their bedroom. Many days passed and they heard nothing again.

The evening of Halloween arrived and they made a great party with many neighboors. When all people were gone, Marty ask to Jane :

-Do you wanna dance ?

-What ? Here ? Just together ?

-Yeah, just you and I.

And then, they put the music on and danced. But suddently all the lights turned off. They were in the dark. And this time they heard together a man’s voice.

-You are a very bad woman, you know that, I will punish you right now little slut !

The young couple was terrorized but they wanted to see, they wanted to know the truth. So one last time, they came down into the basement. And they saw.

A young bride, attached, coverd of blood, tortured and mutilate and in front of her, a man. Her executioner. She opened her last eye and said :

-Run it’s your last chance ! Run or you will die like me !

And then, all things becames dark.

Neighboors remembered Marty and Jane but they never saw them again...   

          

18 septembre 2014

Le reflet du miroir [Extrait]

 

veuve face

 

Comme tous les soirs avant d’aller se coucher, Précillia regarde son reflet dans le miroir avec une grande satisfaction, orgueilleuse, oui, elle l’est, cependant elle n’y voit aucun mal. Pourquoi ne le serait-elle pas ? Après tout elle est tout de même la plus belle fille de son lycée, avec ses longs et magnifiques cheveux blonds, ses yeux bleus azur et sa taille mannequin, elle aime être désirée et être enviée. Et puis elle a également les meilleures notes de toutes les classes de terminales, comment ne pas vénérer son propre reflet lorsque l’on se sent à la fois si belle et si intelligente ? Elle soupire d’aise en remettant une de ses mèches de cheveux en place puis part se mettre dans son lit, sereine.   

 

 

1789, Félicia de la Mirandole regarde son reflet dans le miroir une dernière fois avant d’être conduite à l’échafaud, comment a t’elle pu en arriver là ? Quel gâchis, son si beau visage qui tombera bientôt en lambeaux… Si c’est son excès d’orgueil qui l’a conduite vers la mort, Félicia ne s’en repend pas, elle est juste totalement malade de savoir que sa beauté sera bientôt perdue à jamais. Elle s’avance, lentement, dignement vers la guillotine, les idiots dans la foule hurlent qu’ils désirent sa mort, ils n’ont pas d’importance, ils n’en auront jamais, se ne sont que des insectes insignifiants. Elle pose avec délicatesse sa tête dont la magnifique chevelure noire de jais retombe en cascade de l’autre côté de l’encoche mortelle. De cagoule elle n’en a pas voulu, quelle impolitesse de lui proposer de cacher son magnifique visage. Elle lève les yeux une dernière fois vers ce reflet qu’elle chérie plus que tout au monde qui apparaît à elle dans cette lame monstrueuse. Elle sourit et puis.. Plus rien… Le vide, le noir.

Félicia ouvre les yeux, elle ne comprend pas. Pour elle cela ne fait aucun doute elle est bel et bien morte. Elle est perdue, seule, piégée dans ce noir qui l’absorbe, dans cette obscurité qui ne lui renvoi aucune image d’elle même. C’est peut être ça après tout l’enfer. Elle se relève tant bien que mal, en réalité a ce moment précis, elle ne ressent plus son corps, ne le voit plus n’a même plus conscience qu’elle avait pu en avoir un. Elle tente de se repérer mais ne voit rien, elle voudrait pleurer, elle ne peut même pas. Elle erre durant des jours, des mois, des années, qui pourrait le dire ? Personne. Un jour, sans qu’elle sache pourquoi, une lumière atroce, une lumière de feu apparaît. Elle lui rappelle des souffrances lointaines et presque oubliées en lui brûlant les yeux. Elle tente de voir mais ne distingue qu’une vague silhouette qui se profile au loin. Celle ci se rapproche, elle peut maintenant distinguer qu’elle est immense et que la puissante lumière de feu est en réalité l’aura de son propriétaire. Une voix grave et sombre raisonne dans sa tête.

 

«  Je suis Cerbère le gardien des portes de l’enfer, tu dois me suivre. »        

 

11 septembre 2014

Les aventures des soeurs gores [Extrait]

 

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Le ciel est bleu, les oiseaux chantent, l'herbe est verte dans les prés, le cycle éternel de la nature est si paisible....

Enfin ça, c'est ce que disent tous ces connards qui ne savent ni assumer leurs opinions ni leurs positions dans la société.

Au fait, je me présente, je m'appelle Cerise et mes sœurs s'appellent Citronnelle et Cassis, oui, je sais, nos parents étaient de vrais tarés pour nous donner des noms pareils....

Vous devez penser : "Au moins, avec des noms tels que ceux là elles sont certainement très mignonnes."

Ah bon ? Vous croyez ? Si vous le dites…

Tous ceux qui nous connaissent nous appellent les sœurs gores.....

 

Cassis par Cerise

 

Très jeune, ma sœur aînée Cassis fût attirée par la médecine, il  faut dire que notre père étant un grand chirurgien, toute notre enfance fût baignée dans des livres de médecine, assez sanglants d'ailleurs...

Certaines choses pour lesquelles d’autres autres enfants auraient pleurés ou auraient étés terrorisés ; n’étaient pour Citronnelle et moi rien d'autre que la routine.

Mais pour Cassis, c'était autre chose, un rêve, une passion, voire même une pulsion de désir.

Ce que les gens ne savaient pas en revanche, c'était que Cassis était comme notre père, tous deux ne désiraient en aucun cas exercer ce métier à cause d'une irrésistible envie de sauver des gens.... non, mais plutôt à cause une irrésistible envie de trifouiller les entrailles des gens, vous me suivez ? 

Petite, lorsque les autres enfants jouaient à la balançoire ou à la marelle, Cassis s'amusait à tuer puis à disséquer les petits animaux, charmant non pour une enfant d’à peine 8 ans ? Mais ceci ne fût qu'au début... elle se lassa vite.

C'est pourquoi un beau jour d'automne alors qu'elle n'avait pas encore ses treize ans, elle se glissa dans le laboratoire de notre père.

Il était là, l'objet de ses rêves : un cadavre prêt à être disséquer.

Sans plus attendre, elle mit consciencieusement des gants et attrapa délicatement un scalpel posé à ses côtés.

Un grand frisson la parcourue, elle était si heureuse...

Elle ne m'en raconta jamais plus. La seule chose dont je me rappelle c'est que lorsque mon père, Citronnelle et moi sommes entrés dans la pièce, Cassis était là, un sourire aux lèvres.

Assise près du cadavre soigneusement recousu, sa belle robe blanche maculée de sang, ses petites mains tenaient amoureusement le cœur de ce dernier. Sur ses genoux qui retenaient leur charge avec peine, se trouvaient le cerveau et l'intestin du cadavre qui retombait de chaque côté de ses cuisses sur les plis de sa robe.

Etant une élève hors pair et excellent en ce domaine, elle fût tout de suite intégrée à la fac de médecine après son bac. Et comme tout le monde s’en doutait opta pour la formation de médecin légiste.

A ce jour,  je ne pense sincèrement pas que qui que ce soit d'extérieur à notre famille ne se rende compte de ce que Cassis est réellement : un monstre.

 

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